Il semble que Divock Origi soit devenu un poids mort pour l’AC Milan, le club ayant décidé de se débarrasser de lui avant que le soleil d’août n’ait fini de brûler les pelouses lombardes. Oui, mes amis, selon Calciomercato.com, Origi est qualifié du « plus grand échec des transferts de ces dernières années à Milan ». Deux misérables buts en une saison avec les Rossoneri et une virée infructueuse en Premier League avec Nottingham Forest la saison dernière : un bilan qui ferait pâlir un attaquant de district.
Cet été, il s’est entraîné seul, tel un Robinson Crusoé footballistique, sans la moindre offre en vue d’un club européen de renom. Une situation qui a poussé les sorciers du mercato, Geoffrey Moncada et Giorgio Furlani, à envisager une solution radicale. Pas de résiliation de contrat, ils veulent juste se libérer des pharaoniques 4,5 millions d’euros nets par saison que coûte le Belge.
Et voilà donc la stratégie milanaise : vendre Origi sans aucune compensation financière. Les agents du joueur explorent désormais trois marchés exotiques, et pas des moindres : le Qatar, l’Arabie Saoudite et la MLS. Milan croise les doigts comme un étudiant avant ses résultats d’examens, espérant qu’Origi fera enfin ses valises.
Pas de larmes en Lombardie donc, où les tifosi préfèrent idolâtrer les légendes telles que Paolo Maldini, George Weah, Kaka et Nesta, ces véritables artisans de la gloire rossonera. Le départ d’Origi pourrait marquer la fin d’un chapitre malheureux, un interlude décevant dans l’histoire glorieuse de l’AC Milan. Et qui sait, peut-être que cette décision audacieuse insufflera un vent de renouveau dans cette équipe en quête d’une nouvelle légende à idolâtrer.