Dans les méandres tortueux du marché des transferts, il semblerait que le Milan AC soit bien décidé à faire sa moisson dans le champ au milieu du terrain. Et comme le souligne le toujours bien informé Gianluca Di Marzio, des noms ronflants comme Adrien Rabiot ne sont pas à écarter de l’équation.
Adrien Rabiot, la cerise sur le gâteau ?
Alors que le torride été des transferts approche de sa fin, les Rossoneri, dans leur quête effrénée de renforts, lorgnent sérieusement du côté de la Juventus. Le nom d’Adrien Rabiot a émergé, prêt à être la cerise sur le gâteau milanais. Une signature surprise que Di Marzio lui-même ne trouve pas si improbable. Certes, l’élégant gaucher exigerait un salaire « plutôt généreux », mais son arrivée ouvrirait des horizons nouveaux dans la quête de grandeur du Milan AC.
Fofana, le roc monégasque, et d’autres pistes moins glamour
Non contents de nos rêves de grandeur, la direction du Milan courtise également Youssouf Fofana de l’AS Monaco, surnommé « le roc monégasque ». Pourtant, les négociations ressemblent à une partie d’échecs contre Kasparov. Monaco, champion dans les transactions, fait durer le suspense. Geoffrey Moncada prépare ses pions et s’apprête à dévoiler une offre améliorée. Mais rappelle Di Marzio, « un oui personnel ne mène pas loin », se référant à l’échec cuisant de la Juventus avec Jean-Clair Todibo.
En parallèle, les bruits de couloirs parlent de joueurs comme Manu Koné, Danilo et Johnny Cardoso, mais Di Marzio se montre ironique : « Finalement, on pourrait bien voir un joueur libre de luxe comme Rabiot atterrir à San Siro ». Un clin d’œil aux aléas du mercato où les agents libres deviennent parfois des galettes des rois, avec une fève clinquante.
Les légendaires Rossoneri
Ce n’est pas la première fois que le Milan AC vise les étoiles. Rappelons-nous des illustres Paolo Maldini, George Weah, Kaká et Alessandro Nesta, des noms qui ont illuminé les nuits milanaises et fait trembler les plus hardis adversaires. Ces glorieux ancêtres regardent sûrement avec un sourire d’outre-tombe les manoeuvres de l’été milanais.
Bref, le mercato reste une pièce de théâtre où suspense et rebondissements sont la norme. À moins que Moncada et ses compères ne révèlent le coup de génie que tous les tifosi rouges et noirs attendent avec impatience.
