Alvaro Morata, ce renard des surfaces espagnol, a prononcé un retentissant « Oui » à l’offre de l’AC Milan. Cette décision marque un tournant décisif dans sa carrière. L’attaquant de l’Atlético Madrid, aimanté par l’histoire et la gloire des Rossoneri, tentera d’abord de converser directement avec Enrique Cerezo, le président de son club actuel, pour lui faire part de sa décision.

En écoutant les sirènes milanaises, Morata a validé un contrat de quatre ans, avec une option pour une cinquième année. Le tout couronné d’un salaire annuel de **5,5 millions d’euros**, bonus inclus – bien que des murmures laissent entendre que ce chiffre pourrait être légèrement inférieur à **4,5 millions d’euros**. Milan devra, sans surprise, libérer les coffres pour payer la clause libératoire de **13 millions d’euros** à l’Atlético Madrid pour s’attacher les services de celui qui pourrait devenir un nouveau héros à San Siro.

Le grand Zlatan Ibrahimović, jamais avare de conseils et de persuasion, a été un fervent avocat de ce transfert. Son rôle dans cette saga ne peut être sous-estimé. Grâce à lui, Morata va donc revenir en Italie, prêt à enfiler les crampons pour Milan.

Après son sacre potentiel avec l’Espagne lors du Championnat d’Europe 2024, Morata aura la lourde tâche d’informer Enrique Cerezo qu’il quitte le navire madrilène. Dès que cet échange houleux aura eu lieu, la machine milanaise se mettra en branle et les Rossoneri s’acquitteront de la clause pour finaliser le transfert. Les formalités financières et la visite médicale, qui pourrait se tenir à Madrid ou à Milan, devraient être expédiées en seulement 48 heures.

Alors que les tifosi se réchauffent déjà à l’idée de voir Morata porter le mythique maillot rouge et noir, nous nous souvenons tous des légendes qui ont écrit l’histoire d’un club qui palpita jadis avec Maldini, Weah, Kaka et Nesta. L’avenir nous dira si Alvaro Morata pourra écrire son propre chapitre dans ce grand livre d’histoire.