Alors que tout le monde avait les yeux rivés sur l’éventuelle arrivée d’Adrien Rabiot, l’AC Milan avait d’autres cartes dans sa manche. Selon Matteo Moretto de SOSFanta, les dirigeants milanais avaient en tête un coup d’éclat de dernière minute pour Carney Chukwuemeka de Chelsea.
Des cartes rebattues en Lombardie
Les Rossoneri cherchaient une solution pour Ismaël Bennacer, persuadés que des offres juteuses allaient affluer pour le milieu de terrain algérien. Bennacer, tout sourire, aurait accepté avec joie une aventure exotique en Saudi Pro League, où il aurait sûrement été accueilli en héros. Mais voilà, aucune offre alléchante n’a fait son arrivée sur le bureau de Paolo Maldini.
L’échec des négociations a laissé Milan de marbre. Incapables de se séparer de Bennacer à temps, les dirigeants milanais ont dû faire une croix sur leurs ambitions de renforts. L’objectif principal était Manu Koné, mais sans la vente d’un autre « joueur étranger » et malgré le potentiel départ de Yacine Adli, les Rossoneri étaient coincés.
Un grand italien en quête de renforts
Ce qui aurait pu être un coup de maître aux dernières heures du mercato s’est soldé par un statu quo. Si Bennacer avait définitivement plié bagage à la veille de la clôture des transferts, Milan aurait tenté le grand saut pour Manu Koné, l’ancien talent du Borussia Mönchengladbach qui a finalement rejoint la Roma.
Et si Bennacer avait quitté Milan encore plus près de la date limite, Geoffrey Moncada et ses coéquipiers auraient tenté une attaque éclair pour Chukwuemeka de Chelsea. Mais l’Anglais, laissé de côté par Enzo Maresca, reste un joker potentiel pour le mercato d’hiver.
Le suspense est à son comble. Alors que les Rossoneri se contentent de leurs peines et de leurs joies au milieu de terrain, les fans se demandent à quoi auraient ressemblé les fortunes de l’équipe avec ces renforts. Le mercato de janvier pourrait bien être l’occasion rêvée pour revoir cette saga, avec Chukwuemeka en pole position.
En attendant, la ferveur continue
Ah, ces narratives milanaises. En pleine guerre d’échecs avec l’Inter et la Juventus, l’AC Milan continue de se battre avec passion et panache. Bennacer est toujours là, en rouge et noir, même si son avenir reste incertain. Mais comme disait une vieille gloire milanaise, « l’important, c’est de garder la flamme vivante ». Et cette flamme, elle brûle toujours à San Siro.