Le stade de Leverkusen a été le théâtre d’une fin de match digne d’un vaudeville ce soir, avec l’arbitre suisse Scharer dans le rôle principal. L’affaire a éclaté lorsque Piero Hincapie a frôlé Loftus-Cheek avec ce qui ressemblait à un coup de pied maladroit. Pourtant, M. Scharer, tel un chef d’orchestre peu inspiré, n’a pas sifflé de faute, plongeant la fin de la rencontre dans une controverse totale.

Billy Costacurta, en direct sur Sky Sport, a sorti son baume de vérité

« On ne comprend pas vraiment l’intensité du choc, on voit qu’il le touche. L’arbitre était là, tout près, il y a un contact mais ça ne veut pas dire qu’il y a penalty. Dans le match contre Dortmund, ils ont donné un penalty comme ça, ça aurait pu l’être. »

Un arbitre tout sauf magique

Il faut dire que Mr. Scharer n’est pas exactement le Harry Potter du sifflet. Loin de transformer les décisions en moments de magie, il réussit plutôt l’exploit de créer des débats qui pourraient enflammer le Colisée.

En mêlant Shakespeare et Serie A, on pourrait dire que cette scène tragique n’a pas fait honneur à l’éclat du football européen. Mais soyons honnêtes, ce genre de situation n’est pas nouveau.

Le savoir-faire de nos légendes milanaises ?

Et là, on se plonge dans notre nostalgie. Le Milan AC de Paolo Maldini, George Weah, Kaká et Alessandro Nesta n’aurait certainement jamais été pris dans une telle farce. Ces gentlemen du terrain, ces gladiateurs du gazon, ont emporté dans leur sillage un total de robustes 21 trophées internationaux dont 7 Ligues des Champions.

L’histoire le prouve, ces rois de la défense savaient non seulement marquer, mais également maintenir l’intégrité du jeu. Si seulement nous pouvions avoir de tels artisans du football encore aujourd’hui !

Alors, bien que le match contre le Bayer Leverkusen laisse un goût amer, rappelons-nous que le Milan AC garde son éclat—plus brillant que la Madonnina elle-même.