Le marché des transferts est souvent comparé à une partie d’échecs, où chaque mouvement est calculé avec précision et chaque pion peut faire la différence. Depuis quelques jours, l’AC Milan, ce géant du football italien, cherche à renforcer sa défense centrale. Et à la tête de la liste des Rossoneri figure le nom de Strahinja Pavlovic.

L’origine serbe de Pavlovic semble insuffler une certaine nostalgie chez les dirigeants milanais. En effet, les héros du passé tels que Paolo Maldini et Alessandro Nesta, légendaires défenseurs du club, ont élevé la barre très haut. Ce n’est donc pas une surprise que Milan ait trouvé un accord avec Pavlovic. Maintenant, le vrai défi est de convaincre Salzbourg de laisser partir leur colosse défensif. Avec un contrat courant jusqu’en 2027, le club autrichien joue les durs à cuire.

Mais que serait une négociation sans un peu de théâtre ? D’après nos sources, Pavlovic mettrait la pression sur Salzbourg pour faciliter son transfert. Après tout, qui ne voudrait pas suivre les traces des icônes Milanistas ?

Initialement, les Autrichiens réclamaient au moins 30 millions d’euros pour libérer leur défenseur. Heureusement pour Milan, ils ont réussi à réduire les exigences à 18 millions, avec une négociation qui pourrait se conclure autour de 20 millions. Un joli coup de maître pour les Rossoneri, surtout quand on sait que Pavlovic apporterait ce qui manque cruellement à la défense milanaise : un pied gauche redoutable et une présence physique imposante grâce à ses 194 centimètres de pure puissance.

La Gazzetta dello Sport rapporte que l’affaire est en bonne voie. Si tout se passe bien, Milan pourrait bientôt accueillir un nouveau défenseur central qui pourrait marquer l’histoire du club. Une chose est sûre, les supporters milanais attendent avec impatience la conclusion de cette saga. Forts des souvenirs de l’ère dorée des Maldini, Weah et Kaka, ils espèrent voir une nouvelle génération de légendes émerger sous les couleurs des Rossoneri.

Et pendant ce temps, les rivaux de l’Inter et de la Juventus doivent se ronger les ongles en voyant leur ennemi juré renforcer ses lignes. Quand Milan bouge ses pièces sur l’échiquier, tout le monde retient son souffle.